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Accéder à la propriété : un véritable enjeu de bien-être ?

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Marion
Rédigé le 1 juillet 2025
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On parle souvent de l’achat immobilier comme d’un placement, d’un marqueur de réussite sociale ou d’un moyen de sécuriser son avenir. Mais derrière les taux et les mètres carrés, une réalité plus personnelle émerge : acheter son logement, c’est d’abord mieux vivre.

Proprio VS locataires : un écart de satisfaction révélateur

Une étude d’OpinionWay pour Tryba publiée en mai 2025 révèle une dimension intime et souvent négligée de l’accession à la propriété : le confort de vie.

En effet, selon l’étude, les propriétaires attribuent à leur logement une note moyenne de 7,8/10, quand les locataires se contentent d’un 6,5/10. Derrière ces chiffres, ce sont deux réalités du quotidien qui se dessinent.

Chiffres clés : Baromètre Tryba x OpinionWay (2024)
7,8/10 : note moyenne de satisfaction des propriétaires vis-à-vis de leur logement. 6,5/10 : note attribuée par les locataires, marquant un vrai malaise.

Les locataires évoquent des logements plus petits, moins bien équipés, et surtout moins bien isolés. L’absence de pouvoir d’agir sur leur habitat alimente souvent la frustration. Résultat : un sentiment d’inconfort persistant, difficile à ignorer au quotidien.

En face, les propriétaires bénéficient d’une plus grande maîtrise de leur cadre de vie, avec la possibilité d’aménager, de rénover, d’adapter leur logement à leurs besoins… et donc, de s’y sentir véritablement “chez eux”.

Devenir propriétaire pour reprendre la main sur son habitat

Au-delà de l’aspect économique, acheter son logement c’est aussi gagner en autonomie. Là où un locataire dépend du bon vouloir de son bailleur pour changer une fenêtre, refaire une salle de bain vieillissante ou changer le carrelage jaune moutarde de la cuisine (choix de couleur hasardeux), un propriétaire peut, lui, agir librement sur son espace de vie.

Ce pouvoir d’agir a un impact direct sur le bien-être : plus de personnalisation, plus de confort thermique, et souvent moins de stress au quotidien.

Le confort, nouveau graal dans l’accès à la propriété

Longtemps, on a mesuré la réussite immobilière à la valeur du bien ou à son emplacement. Aujourd’hui, une autre variable gagne du terrain : le niveau de confort ressenti. À ce titre, devenir propriétaire n’est plus seulement une stratégie patrimoniale, c’est un véritable accélérateur de qualité de vie.

Et cet écart se creuse d’autant plus dans un contexte de crise climatique. En effet, les logements mal isolés, énergivores et inconfortables sont le plus souvent occupés par des locataires.
A contrario, les propriétaires ont la possibilité (et parfois les aides nécessaires) pour rénover, isoler, améliorer. Ils peuvent se projeter durablement dans un logement plus sain, plus économe, plus agréable.

Vers un logement plus juste ?

Alors que la demande de confort ne cesse d’augmenter (besoin de calme, d’espace, de lumière, de qualité d’air…), l’accès à la propriété devient un enjeu social autant qu’économique. Il ne s’agit pas seulement d’avoir un toit à soi, mais de bénéficier d’un logement dans lequel on peut bien vivre, aujourd’hui et demain.

Chez Pretto, nous le constatons au quotidien : pour beaucoup des clients que nous accompagnons, devenir propriétaire, ce n’est pas seulement acquérir un bien. C’est aussi souvent la première étape pour mieux se loger, mieux vivre, et parfois même se sentir enfin chez soi.

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