Exemple d’investissement : la location de courte durée
Les avantages
Selon les chiffres de MeilleursAgents, un propriétaire parisien pourrait gagner jusqu’à 2,6 fois plus de revenus en utilisant la location de courte durée plutôt que la location classique. Plus le quartier est lucratif, plus l’écart se creuse, jusqu’à rapporter 3,5 plus de revenus annuels pour certains logements aux emplacements très privilégiés.
Que des avantages ?
Aussi, les propriétaire apprécient particulièrement la location saisonnière pour la souplesse indéniable qu’elle apporte. En effet, ces derniers sont libres de fermer à la location leur bien, autant de fois que nécessaire. Pour ce faire, rien de plus simple : indiquer clairement sur leur calendrier de location les dates qu’ils souhaitent bloquer (pour occuper eux-mêmes le bien, héberger des proches, ou même pour le plaisir…). Ainsi, la location de courte durée, c’est aussi une façon d’avoir « le beurre et l’argent du beurre », l’accès au bien loué ainsi que les revenus engendrés par sa location.
Certains hôtes Airbnb revendiquent également volontiers les valeurs humaines et l’approche différente permises par la location de courte durée. Plus que de simplement rentabiliser leur maison en leur absence, nombreux sont les hôtes Airbnb qui se réjouissent de partager leur antre à un prix plus avantageux que le secteur hôtelier. En prime, la tranquillité d’esprit est aussi garantie par la location de courte durée, puisque les loyers le sont aussi ! Plus de risques d’impayés ou de locataires récalcitrants, puisque les voyageurs Airbnb procèdent au règlement de leur réservation avant même de pénétrer dans le logement. Aussi, afin d’alléger les risques et le côté aléatoire liés à la location saisonnière, Airbnb a mis en place une assurance prenant en charge les dommages allant jusqu'à 1M$.
De plus en plus encadré
Il y a cependant un certain nombre de règles à respecter : dans les villes de plus de 200 000 habitants ou classées comme des « zones tendues », les propriétaires Airbnb ne peuvent plus louer leur résidence principale au-delà de 120 jours cumulés par an.